Notre histoire
La fabuleuse histoire de
“Les Macarons de Saint-Émilion”
400 ans d’histoire…
Transmise de génération en génération à quelques rares familles de la région, la recette a failli se perdre à la Révolution, en raison de la destruction du couvent et de la dispersion des moniales qui s’en est suivie. La légende veut que ce soit Mademoiselle Boutin, l’une des sœurs Ursulines, qui ait proposé de dévoiler la recette pour échapper à une extrême pauvreté. On est alors en 1789.
Au 19e siècle, la recette est entre les mains de la Veuve Goudichaud, qui fait acquérir aux célèbres macarons une notoriété nationale. En 1867, lors de l’Exposition Universelle, certains propriétaires de crûs de la région font accompagner leurs envois de vins, dans le cadre d’une exposition collective organisée par leurs soins, de plusieurs caisses de macarons, élaborés à partir de la recette de la Veuve Goudichaud.
La recette tant convoitée sera transmise par la Veuve Goudichaud à Joseph Grandet, son gendre, qui obtient le droit de fabriquer les macarons des Ursulines. Il crée une marque pour commercialiser ses macarons : “Recettes des Anciennes Religieuses, Veuve Goudichaud, Grandet aîné successeur”. Au fil des années, d’autres dépositaires uniques de la recette des macarons des soeurs Ursulines succèderont à Joseph Grandet : Madame André, Madame Jeanne Passama, Madame Magdeleine Blanchez, Madame Danièle Blanchez et, aujourd’hui, Nadia Fermigier.